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L'Armée du Hanovre 1813-1817 (1ere partie)
Comme la plupart des territoires de l’Europe à cette période, le destin du Hanovre entre 1800 et 1815 est fortement lié aux multiples campagnes militaires de Napoléon et aux différents affrontements qui l’opposèrent aux états coalisés à partir de 1812.
Le contexte historique
Depuis la prise de l’Électorat du Hanovre en 1803 par le Général Mortier, puis la reprise de quelques territoires au sud de Hanovre en 1805 par la Prusse, il n’y avait plus d’armée Hanovrienne proprement dit.
A partir de 1807 (paix de Tilsit), Hanovre et les villes environnantes repassent sous domination française et constituent des départements du nouveau royaume de Westphalie du roi Jérôme Bonaparte (sauf au nord Lünebourg, Brême, Verden qui ne sont intégrées qu’au traité de Paris de janvier 1810).
En janvier 1811, après l’annexion du royaume de Hollande, l’administration de Napoléon créé un certain nombre de départements « hanséatiques » français dont trois reprenant les villes de Hambourg et Lunebourg (département des Bouches de l’Elbe), Brême (département des Bouches du Weser), Osnabrück (Ems supérieur) etc.
Hanovre et Celle restent au sein du département de l’Aller du royaume de Westphalie du roi Jérôme Bonaparte.1813: La reconstitution d'une armée hanovrienne à l'occasion de la 6ème coalition et de la campagne d’Allemagne.
Le contexte géopolitique :
Après le désastre de la campagne de Russie de 1812 et la destruction presque complète de la Grande Armée de Napoléon, on assiste d'une part à un retournement des alliances, la Prusse puis l’Autriche vont rejoindre la Russie alliée à la Suède et au Royaume-Uni. ;
D’autre part à l’apparition d’un fort sentiment nationaliste en Allemagne qui conduit à des insurrections au nord et la perte de la Westphalie, et des départements de Hollande et de l’Elbe.
Pour Napoléon, la Campagne d’Allemagne a pour objectif initial la prise de Berlin en Prusse.
- Après la retraite de Russie de 1812, Napoléon parvient cependant à lever une nouvelle armée de 300.000 hommes, essentiellement de jeunes conscrits, mais avec peu de cavalerie par manque de chevaux, qui rejoignent ce qui reste de la « Grande Armée » sur le Rhin puis en Saxe au printemps 1813 (soit 400.000 hommes en Saxe)
- en Février 1813, le Tsar Alexandre de Russie progresse vers l’ouest et prend la Pologne.
- fin Février le roi de Prusse Frédéric-Guillaume renverse son alliance et s’allie à la Russie et mobilise plus de 300.000 hommes.
- L’Autriche de Metternich reste au départ prudemment neutre mais se ralliera à la Prusse, la Russie et l’Angleterre en Aout après l’armistice de Pleiswitz.
- Le Royaume Uni s’allie à la Suède (dont le prince héritier est l'ancien Maréchal français Bernadotte) déjà alliée de la Russie, pendant que Wellington bat sporadiquement les maréchaux français en Espagne.
- Le 12 Mars une insurrection populaire a contraint les troupes françaises à quitter la place forte de Hambourg (département des Bouches de l’Elbe) aussitôt occupée par le Corps Russe du général Tettenborn.
- Le 17 Mars 1813, la Prusse jusque-là alliée de la France contre la Russie, rejoint la coalition Russie-Angleterre-Suède qui dispose alors de quatre armées :
- L'armée Russe en Pologne du général Von Bennigsen (Russes et Prussiens) qui fait le siège de Dantzig.Maréchal Levin August von Bennigsen (né en Hanovre)
- L'armée Prussienne de Silésie du général Von Blücher en Allemagne centrale (100.000 hommes)Maréchal Gebhard Leberecht von Blücher
- L'armée du nord du Roi de Suède, l’ancien Maréchal français Bernadotte (qui regroupe Suédois, Prussiens, Russes et Hanovriens).Jean-Baptiste Jules Bernadotte en 1792
- L'armée de Bohême au sud, du général autrichien Scharzenberg (200.000 hommes).
Général Karl Philipp Schwarzenberg
Premières défaites françaises et premières légions hanovriennes:
- Le 21 Mars 1813, 50 cosaques entrent à Lünebourg et provoquent une insurrection, puis la ville est prise le 2 avril par 4000 russo-prussiens du Général Von Dörnberg.
Rapidement, les premiers recrutements ont lieu dans ces territoires de l'ancienne principauté liée à la couronne d'Angleterre repris à la France.
Le gouvernement en exil en Grande Bretagne commence à organiser une armée pour défendre son territoire et aider à la défaite de Napoléon. Au début les effectifs des levées sont assez faibles car il n'y a pas de contraintes.
Les premières unités se sont organisées en bataillons d'infanterie légère et de ligne de 4 compagnies de 120 hommes ainsi que des régiments de cavalerie de 3 escadrons de 150 hussards chacun, en premier lieu dans les villes du nord, Lünebourg, Lauenbourg, Brême et Verden.
Dès le mois d'Avril 1813, les Jäegers (chasseurs) de la légion de Lünebourg forment le Leichtes-Bataillon Lüneburg /Bataillon léger de Lüneburg (commandé par von Klencke).
Les Jäegers de Brême forment le Bataillon léger de Brême-Verden (de Vaux),
A Lauenburg, la légion forme le Feld-Bataillon Lauenburg /Bataillon d'infanterie de ligne de Lauenburg (von Benoit)
Une petite unité de chasseurs de 2 puis 4 compagnies: Feldjägerkorps (von Kielmansegg)
Ainsi que deux régiments de cavalerie:
les Hussards de Bremen-Verden.
les Hussards de Lüneburg.
En Mai/Juin 1813, deux bataillons les rejoignent:
A Brême, la légion forme un Bataillon de ligne qui devient le Feld-Bataillon Bennigsen
Le Feld-Bataillon von Röhl (renommé ensuite Bataillon von Langrehr)
En Juin et en Aout, ces troupes sont renforcées par un Bataillon d'Anhalt-Dessau, et une batterie d'artillerie à pied .
Le corps des chasseurs de von Beaulieu (jägercorps) forme le Bataillon des "Harzer Schutzen" (tirailleurs du Hartz),
Puis à la fin de l'année 1813:
Le Régiment des Hussards "Duc de Cumberland's
Deux batteries d'artillerie à cheval/à pieds
Les opérations militaires de 1813 dans le Mecklembourg et le Holstein
- Le 24 février, une insurrection avait éclaté à Hambourg, chef-lieu du département des Bouches-de-l'Elbe depuis 1811, et s'était étendue à toute la côte, de la Weser à Lübeck : les autorités françaises et le sénat de Hambourg avait dû se replier à Brême.
- Une avant-garde russe commandée par le général allemand Tettenborn avance le long de la mer Baltique. En mars, celui-ci avec un détachement de cosaques, entre à Hambourg qui lui ouvre ses portes.
- Les forces françaises contre-attaquent pour reprendre les régions de la mer du Nord. Le maréchal Davout prend le commandement des opérations, reçoit le renfort de l'armée danoise et reprend Hambourg le 30 avril.
- Début Mai, les français du 1er Corps du général Vandamme quittent Brême pour Hambourg qu’ils bombardent depuis l’ile de Wilhemsburg.
- Le 2 Mai bataille de Lützen près de Leipzig, Napoléon repousse Russes et Prussiens.
Le 8 Mai prise de Dresde
Le 21 Mai victoire française à Bautzen et Wurschen suivie de l’armistice le 4 Juin pour 7 semaines. - Les Russes et Prussiens évacuent Hambourg le 30 Mai.
- Dès le 1er Juin, le Maréchal Davout et les alliés Danois occupent la ville ainsi qu’une autre ville Hanséatique Lübeck.
Celui-ci est chargé par Napoléon de fortifier la ville afin d’être en mesure de soutenir un siège dès la mi-juillet, profitant de l’armistice de Pleiswitz signé le 2 Juin pour une durée de 7 semaines.
- A compter d’aout 1813, la légion Hanovrienne forte de 4500 hommes environ est regroupée sous les ordres du Major Général James Lyon (britannique) au sein de la 2ème Division du Corps Russo-allemand du comte Ludwig von Wallmoden de l’armée du nord de Bernadotte et participe au siège de Hambourg.
Sir James Lyon (1775-1842) Général Britannique, puis gouverneur de la Barbade
Elle comprend la brigade légère de l’OberLieutenant Martin (1650 hommes) avec les 1er et 2ème bataillons de Lüneburg et Bremen-Verden, la brigade de ligne du LtCo Halkett (2060 hommes) et la cavalerie Dörnberg et ses hussards, soit 450 sabres ainsi qu’une artillerie de 6 pièces et 200 hommes.
division Hanovrienne général J. LYON Brigade de ligne Lt Colonel HACKET 2062 3e Bn de ligne Lauenberg Von Benoit 757 4e Bn de ligne Bennigsen Von Bennigsen 564 5e Bn de ligne Roehl Von Langrehr 741 Brigade légère O.Lieutenant MARTIN 1653 1e Bn léger Lüneburg Von Klencke 511 2e Bn Léger Bremen-Verden de Vaux 571 Bn de ligne Anhalt-Dessau Von Krohne 571 Eléments rattachés Jâgerkorps (3 Cies) O. Kielmansegg 164 commando KGL (5Cies) Holtzermann 318 Batterie 6 pièces Wiering 203 Division de Cavalerie GM Dörnberg Hussards de Lüneburg (3 esc.) O von Estorff 248 Hussards de Bremen-Verden OL von dem Busche 193 La composition globale du Corps Wallmoden, en charge du siège de Hambourg, comprenait :
une 1ère division Russo-Allemande (Arenschild) de 6000 hommes environ, assez mal équipés.
une 2éme division Prussienne (Tettenborn),
une 3ème division Hanovrienne (Lyon)de 4500 hommes environ
et une division de cavalerie Hanovrienne (Dornberg).
GL Ludwig Graf WALLMODEN-GIMBORN (1769-1862)
né en Hanovre, formé dans l'armée prussienne, puis autrichienne, lieutenant général Britannique
Le 16 septembre, en marge du siège de Hambourg dans la lande de Göhrde, les troupes coalisées de Wallmoden arrêtent et repoussent la division française de Pécheux (3000 hommes) envoyée par le maréchal Davout pour rétablir la liaison entre les places assiégées de Hambourg et Magdebourg. Les Français, inférieurs en nombre, doivent se replier avec 800 et 500 pertes humaines de part et d'autre.
OB de la bataille de GÖHRDE 16 sept 1813 Division Russo-Allemande Arenschild 1ere Brigade Natzmer 1800 1er Régiment ligne v.Schoper 663 2ème Régiment Ligne v.Fircks 662 5ème Régiment ligne v.Dobschutz 483 2ème Brigade V.Wardenburg 2000 3ème Régiment Ligne v.Tiedemann 772 4ème Régiment Ligne v.Horn 661 6ème Bn RGL v.Natzmer 506 Cavalerie 1er RGL Hussard v.der Gotz 575 Artillerie 337 Division Prussienne Tettenborn Brigade d'infanterie Ratt 2500 Bn Reiche Feldjaegers ? 800 2 Bn Lutzow's Freikorps ? 1450 Jaegerskorps Kielmansegg 157 Tyrolean Jaegers ? ? Brigade cavalerie 1600 1er, 9e & 7e Cosaques du Don Komissarov, Sulima, Denisov 1200 Hussards de Lutzow (5 esc.) ? 430 Artillerie (4 pièces) 115 Division Hanovrienne Lyon Brigade légère O.Lt Martin 2100 (1e Bn léger Lüneburg) Von Klencke 511 2e Bn Léger Bremen-Verden de Vaux 571 Bn de ligne Anhalt-Dessau Von Krohne 534 2/73e Rgt Foot Highland 500 Brigade de ligne Lt Co Hacket 2554 3e Bn de ligne Lauenberg v.Benoit 757 4e Bn de ligne Bennigsen v.Bennigsen 564 5e Bn de ligne Roehl v.Langrher 751 Artillerie (6 pièces) + 1/2 KGL Wiering 203 Division de cavalerie Dornberg Hussards de Lüneburg (2 esc.) O von Estorff 240 Hussards de Brême-Verden (1esc.) OL von dem Busche 180 3e Hussards KGL (5 esc.) ? 805 Artillerie (KGL RGL & British rockets) 390 Selon les sources, il y a un doute sur la participation du 1er Bataillon léger de Lünebourg de von Klencke ou du Bataillon de ligne Anhalt-Dessau de von Krohne à cette bataille. (*)
Depuis la fin de l’armistice en Aout 1813, l’Autriche a rejoint la Coalition qui a repris l’offensive :
- Ce même mois, l’armée du nord de Bernadotte remporte la bataille de Gross-Beeren contre Oudinot et bloque ainsi la route de Berlin et de la Prusse aux Français.
- Le Prussien Blücher remporte la bataille de Katzbach contre Mc Donald en Silésie.
- En Septembre le Général Vandamme est défait à Kulm au nord de la Bohême, et la défaite de Göhrde empêche Davout de bloquer la jonction de l'armée du Nord de Bernadotte avec les autres armées coalisées plus au sud.
Ces seules batailles coûtent près de 35.000 hommes du coté français et entrainent un grand nombre de désertion chez les jeunes recrues.- Le 30 septembre, le roi Jérôme est assiégé à Cassel par les troupes russes, puis chassé le 26 octobre. La principauté de Hanovre est reconstituée.
- Fin septembre, Napoléon est sur la défensive, ses troupes dispersées : le gros de son armée (130.000 hommes) est sur Dresde, le reste autour de Leipzig (72.000 hommes), Davout est toujours retranché à Hambourg.
- Début Octobre les coalisés lance une offensive sur l’Elbe, Napoléon compte contrer leur réunion à Leipzig.
Du 16 au 19 octobre 1813 a lieu la bataille de Leipzig, ou Bataille des Nations. Napoléon est en infériorité numérique (185.000 contre 250.000 coalisés). Après quatre jours de combat et une hécatombe de 160.000 morts de part et d’autre, c’est la victoire des 10 nations coalisées et la retraite pour la grande armée.
- Napoléon est de retour à Paris en Novembre.
Par contre, après la bataille de Leipzig, les grandes puissances ont besoin de personnels et veulent mettre au pas tous les mouvements nationalistes. Le meilleur moyen pour résoudre ses deux difficultés est l'engagement militaire. Officiellement, il n'est pas forcé, mais "fortement conseillé" surtout pour l'avenir des territoires dans le cadre des négociations de paix.
Ainsi le mois suivant Leipzig, le 10 novembre 1813, mon aïeul Ludwig Hecht est enrôlé à 18 ans dans l'armée Hanovrienne.
Le document d’incorporation en tant que soldat dans le Bataillon léger de Lüneburg, signale que Ludwig mesure 5 pieds 4 pouces soit 1m76, qu'il est né à Herrenhausen près de Hanovre et qu’il est de religion Luthérienne.L'uniforme du bataillon léger de Lünebourg était assez proche de celui des bataillons légers de la King's German Légion, une veste verte et noire et un pantalon gris.
Il est donc certain que Ludwig Hecht et son bataillon ont pris part au siège de Hambourg qui s'est poursuivi de décembre 1813 jusqu'à mai 1814 après la fin des hostilités.
Les forces Hanovriennes en 1814:
Au début de l'année 1814, l'armée Hanovrienne s'étoffe de 2 Bataillons légers, et d'un Bataillon de ligne:
- le Harzer Schutzen Korps de von Beaulieu devient le Leichtes-Bataillon Grubenhagen
- le Leichtes-Bataillon Osnabruck (levé par von Anderten) (plus tard Feld Bataillon Duke of York)
- le Feld-Bataillon Calenberg (Hedemann)
et d'une trentaine de Landwehr-bataillon (milices locales) de 4 compagnies de 160 soldats.
Alfed (puis Einbeck) Hildesheim Osterode Bentheim Hoya Ottendorf Bremerlehe (puis Osterholz) Iburg (Melle) Peine Bremervörde Lüchow Quakenbrück Celle Lüneburg Stade Gifhorn Meppen Uelzen Goslar (plustard Salzgitter) Münden Verden Hameln Nienburg Diepholz Hannover Northeim Ratzeburg Harburg Osnabrück Springe Ces unités entrèrent alors théoriquement dans la composition du 2e corps fédéral du duc de Brunswick, qui n'eut pas le temps de se rassembler avant la fin de la guerre mais qui réunissait tout-de-même 32.900 hommes et 64 pièces d'artillerie.
A la fin de l'année 1814, les dix bataillons légers et de ligne (ou feld-bataillon) sont chacun associés à 3 bataillons de milice (landwehr) au sein de 10 régiments de 2500 hommes environ:
1er Regiment Bremen Feld-Bataillon Bremen Lt Col. Langrehr Landwehrbattalion Otterndorf Landwehrbattalion Stade Landwehrbattalion Bremervörde 2e Regiment Verden Feld-Bataillon Verden (Bennigsen) Maj. De Schkopp Landwehrbattalion Verden Landwehrbattalion Bremerlehe Landwehrbattalion Harburg 3e Regiment Hoya Feld-Bataillon Hoya (Langrehr) Landwehrbattalion Hoya Landwehrbattalion Nienburg Landwehrbattalion Diepholz 4e Regiment Osnabrück Feld-Bataillon Osnabrück Maj.Baron Bulow Landwehrbattalion Osnabrück Landwehrbattalion Quackenbrück Landwehrbattalion Melle 5e Regiment Lüneburg Feld-Bataillon Lüneburg Lt.Col.Von Klencke Landwehrbattalion Lüneburg Landwehrbattalion Celle Landwehrbattalion Gifhorn 6e Regiment Lauenburg Feld-Bataillon Lauenburg Lt Col. Benoit Landwehrbattalion Ratzenburg Landwehrbattalion Bentheim Landwehrbattalion Lüchow 7e Regiment Calenburg Feld-Bataillon Calenburg Mjr Schneher Landwehrbattalion Hannover Landwehrbattalion Hamlen Landwehrbattalion Neustadt 8e Regiment Hildesheim Feld-Bataillon Hildesheim Landwehrbattalion Hildesheim Landwehrbattalion Uelzen Landwehrbattalion Peine 9e Regiment Grubenhagen Feld-Bataillon Grubenhagen Lt Col. Wurmb Landwehrbattalion Alfed Landwehrbattalion Salzgitter (Goslar) Landwehrbattalion Springe 10e Regiment Göttingen Feld jägerkorps Cpt. Von Reden Landwehrbattalion Osterode Landwehrbattalion Münden Landwehrbattalion Northeim Notes et sources
(*) Peter Hofschröer, (mars 2012) " Prussian Reserve, Militia & Irregular Troops 1806-15" Ed Osprey MAA 192Peter Hofschröer “The Hanoverian Army of the Napoleonic Wars” from the Osprey Men-at-Arms series
Cobbett's Political Register. "History of the King's German Legion" oct 2013, Cambridge University Press
Bucher, Ludwig Ferdinand, Der Feldzug des Dritten Deutschen Armee-Corps in Flandern, Leipzig, Hermann Costenoble, 1854.
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Gill, John H, With Eagles to Glory: Napoleon and his German Allies in the 1809 Campaign, Barnsley, Frontline Books, an imprint of Pen & Sword Books Ltd, 2011 © 1995 – 2017 The Napoleon Series.
Haythornthwaite, Philip J, The Napoleonic Source Book, London, Arms and Armour Press, 1990.
Hein, Bernhard, “Geschichte des Dessaur Militärs”, Dessau Geschichte,
Nafziger, George F, The Armies of Germany and the Confederation of the Rhine, 1792-1815, Volume I, Privately published, 1993.
Nafziger, George, "Napoleon's German Enemies - Armies of Hanover, Brunswick, Hesse-Cassel & Hanseatic Cities (1792-1815)”
Nafziger, George, The End of Empire: Napoleon’s 1814 Campaign, Solihull, UK, Helion& Co., 2015
Rawkins, W. J, Armies of the Confederation of the Rhine, The Rheinbund Contingents 1806-1813, Part 2: Anhalt,Lippe, Reuss, Schwarzburg, Waldeck, Mecklenburg-Schwerin, Oldenburg & Frankfurt,
Rawkins, W. J, “The Hanoverian Army 1814-15: Infantry”,
Siebigk, Ferdinand, “Georg Hoppe”, Allgemeine Deutsche Biographie, Band XIII (Volume 13), Duncker & Hunblot, Leipzig, 1881,
Wittich, Karl Heinz, Das Anhaltische Chasseur-Regiment 1813,
Zeidler, Ludwig, Der Spanische Feldzug des Bataillons Anhalt im Jahre 1810, Zerbst, Germany, Friedrich Romer, 1844.
- Après la retraite de Russie de 1812, Napoléon parvient cependant à lever une nouvelle armée de 300.000 hommes, essentiellement de jeunes conscrits, mais avec peu de cavalerie par manque de chevaux, qui rejoignent ce qui reste de la « Grande Armée » sur le Rhin puis en Saxe au printemps 1813 (soit 400.000 hommes en Saxe)
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